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La revue de Clique #5 : les liens de la semaine

Littérature, vidéos, podcasts, musique, articles : tour d'horizon hebdomadaire, en quelques clics, des coups de cœur de la rédaction. Au menu de cette semaine : une dissection de Tarantino, un peu d'art digital et la genèse du mot "wesh".

Une vidéo : comment Quentin Tarantino crée le suspense dans ses films
Vous avez 13 minutes ? Apprenez comment l’un des maîtres du cinéma contemporain se joue de vos émotions et vous tient en haleine, à travers la première scène d’Inglorious Basterds. Passionnant.
Via Lessons from Screenplay. À voir ci-dessous :

Un dossier complet : qui était Notorious B.I.G. ?
On a récemment célébré le vingtième anniversaire du décès de Notorious B.I.G. À cette (triste) occasion, le site Abcdrduson.com a réalisé un dossier définitif sur le rappeur et revient sur son parcours à travers six morceaux. Lecture vivement recommandée.
À lire sur l’Abcdrduson.

biggie
Photographie par Michael Lavine. Découvrez l’histoire de cette image en cliquant sur ce lien.

japon
Photographie © Green Newspapers

Un « funfact » responsable : l’un des plus grands quotidiens japonais fleurit quand on le plante.
Oui, vous avez bien lu. Le journal est imprimé sur du papier recyclé parsemé de graines, qu’il s’agisse de fleurs ou de plantes. L’encre, elle, est naturelle et agit comme engrais. Seul bémol : pour l’instant, il ne s’est agi que d’une expérience ponctuelle. Espérons qu’elle soit réitérée.
À découvrir sur ActuaLitté.

Une controverse : Les Asiatiques ont-ils le droit d’utiliser le N-Word ?
Beaucoup s’y sont cassés les dents, comme Fat Joe, French Montana ou encore DJ Khaled. Ces derniers jours, un jeune rappeur émergeant de Toronto, poulain de The Weeknd, s’est lui aussi fait épingler après avoir utilisé « le mot commençant par un N ». Anupa Mistry, journaliste pour The Fader, s’est intéressée à cette histoire. Elle-même d’origine sud-asiatique, elle assimile cette utilisation maladroite du vocabulaire afro-américain au manque de figures référentes chez ces jeunes. On y apprend qu’au-delà du volet racial, le N-Word est associé à une dimension sociale que partagent les communautés noires et sud-asiatiques, comme dans le quartier de Rexdale à Toronto.
À lire sur The Fader.

À la croisée de l’art et du digital : ce site mélange les époques, et ça fonctionne.
B4XVI (lire « before Sixteenth ») est un site bizarre, bien pensé et attrayant. Il veut, explique-t-il, « mettre en lumière la conversation invisible entre notre époque et l’art d’avant 1650 » – pour ce faire, il n’hésite pas à convoquer « MMMbop », le tube 90s des Hanson. C’est… inexplicable, et surtout addictif. Allez donc voir, et sachez qu’une fois qu’on a cliqué, il est très difficile de quitter cette page.

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Toutes les images sont à découvrir sur le site du projet.

Une enquête : Mais d’ou vient donc le mot « wesh » ?
Il y a deux ans, le webzine SURL s’est posé cette question existentielle. Comme l’article n’a toujours pas perdu de sa pertinence, nous vous le proposons comme lecture du week-end. Dans cette archéologie linguistique et sémantique, on apprend comment le mot est passée d’une fonction interrogative (dans la langue arabe) à un côté très péjoratif quand il est utilisé par certains pour désigner une catégorie de la population. Le poids des mots …
À lire sur SURL.

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