Il pleut à grosses gouttes, un blanc grisâtre a bouffé le ciel, tu traînes dans (...)

Un dernier coup d’œil devant le miroir avant de partir : Rouge à lèvres : (...)

Dans un texte précédent, tu as raconté aux Internets, sans pudeur aucune, le premier râteau (...)

Tu n’as aucune envie de sortir. Tu n’as aucune envie de te faire belle. Tu (...)

Ce matin ressemble à tous les matins. Sauf que ce matin n’est pas censé ressembler (...)

Cher Papa Noël, Cette année, j’ai été très sage, j’ai bien travaillé. *Hilarité générale* Je (...)

Comme beaucoup d’entre nous, ces deux dernières semaines m’ont épuisée. LE-SSI-VÉE même. Les quinze derniers (...)

Au départ, on m’avait demandé d’écrire un article sur la corrélation entre réactions aux attentats et (...)

Les jours d’après. Il fait gris, il fait froid. Je ne sais pas s’il fait (...)

ENFIN, t’aurais envie de dire. C’est marrant d’ailleurs cette expression « se mettre au vert » : (...)

Calmez-vous. Vous ne verrez pas un nichon dans cette chronique. Obsédés. Tu t’es mise à (...)

Winter is coming. T’as basculé. Le déclic ? Non, pas des zombies pâlots aux yeux (...)

Et, vous aussi, vous vous en foutez. Trêve de politesse, ne mentez pas. Vous vous (...)

Tu sais, quand on ne le sent pas, il faut ne pas y aller. Parce (...)

Je voulais juste passer une bonne rentrée, mais voilà, ça fait longtemps que je ne (...)

Ça devient une évidence, va falloir te faire une raison : vous êtes plusieurs dans ta (...)

C’est l’été. Il fait chaud, ta frange te colle au front, tu traînes tes grosses (...)

En vrai, ça ressemble plus à une cave qu’à un bar. Les murs, jaunis par (...)

T’as rendez-vous, tu sais pas quoi te mettre. Bon, il ne faut surtout pas être (...)

Quand on était petite, on nous a collé ce rêve un peu bizzaroïdo-machiste d’être une (...)

Il y a les cons et puis, il y a les autres. Enfin, les autres… (...)

Il y a des gueules de bois dont on a du mal à se remettre. (...)

Un mec somme toute normal, sauf qu’il se la jouait peut-être un peu trop artiste (...)

Tinder, c’est l’infini du vide. Il y a des garçons à perte de pouce. Tu (...)